lundi 29 mars 2010

Visite au MBAM par Mariana



Un nouveau regard

Le peintre Marc-Aurèle Fortin est né à la fin du dix-neuvième siècle à Sainte-Rose, un quartier au nord de Laval, mais pour moi, il est né la semaine dernière, lors de ma visite au Musée de Beaux arts de Montréal. Soit à cause de mon expérience professionnelle jusqu’aujourd’hui, soit grâce à quelque chose de plus transcendantal, à chaque fois que je me trouve dans un musée d’art, je sens que la vie vaut la peine d’être vécue. Donc, la décision d’écrire sur une seule œuvre d’art qui m’a touchée n’avait rien de facile. Parmi les plus de 30,000 pièces, qui débordaient de beauté à mes yeux, j’ai dû n’en choisir qu’une à vous décrire.
Finalement, après presque deux heures de visite, d’escaliers, de pavillons, je me suis retrouvée dans la salle des peintres canadiens. Pourquoi ne pas dédier ce texte à eux, me suis-je demandée, cela aurait du sens, me suis-je confirmée. En même temps, je ne voulais pas que la décision soit fondée sur le seul fait de rendre hommage au Canada ou au Québec, étant moi-même une immigrante ici. Je voulais que quelqu’un mérite les heures et l’effort que je lui dédie maintenant. Alors que je pensais à toutes les conditions pour choisir quelqu’un, j’ai vu des scènes colorées, des mouvements fluides et consistants en même temps, des coups de pinceau précis, de l’encre épaisse dans les toiles : un festin de beauté, d’expression et de sentiment. J’ai aussi reconnu les paysages québécois qui m’ont accueilli il y a une demie-année : l’automne et l’hiver ; ainsi que les paysages que j’attends anxieusement : le printemps et l’été. Quelques titres d’oeuvres pour vous situer : Commencement d’orage sur Hochelaga et Grands ormes à Sainte-Rose : une nuit d’hiver et un jour d’été.
Les nuits de décembre, représentées sur les toiles de M. Fortin, ont un ciel psychédélique, d’un revêtement velouté et les arbres de l’été dans les coins de Montréal, vivants dans son œuvre, me font rêver. Je m’excuse de ne pas pouvoir choisir une seule œuvre de M. Fortin. Ce défi, je ne l’ai pas relevé.

dimanche 28 mars 2010

Visite au MBAM par Pia



Le Musée des Beaux Arts de Montréal a été fondé en 1860. Le musée montre les oeuvres des artistes d’hier et d’aujourd’hui du monde entier. Dans le musée, il a plusieurs collections qui comprennent des peintures, des sculptures, des œuvres graphiques, des photographies et des objets décoratifs. Moi, j’ai trouvé les tableaux de Monet et Picasso très intéressants. Le premier, La Grande allée à Giverny (1900) par Claude Monet qui a utilisé dans ce tableau des couleurs claires comme le blanc, l’argent, le vermillon, le vert émeraude, le bleu cobalt, le jaune cadmium. Le deuxième tableau, Étreinte (embrasé) – 1971 par Pablo Picasso dans ce tableau, il représente des figures désolées en utilisant des couleurs presque monochromes ou les bleus dominent. Dans ce musée, je pouvais expérimenter les différents genres d’arts. On peut commencer par la collection de Napoléon grâce a la donation de Ben Weider; une salle entière consacré à Napoléon ainsi qu’aux arts sous le Premier Empire. Puis, on peut se délecter de l’art précolombien qui offre un parcours chronologique et culturel pour chaque grande culture de l’Amérique ancienne, jusqu'à l’Afrique Sacrée qui illustre les approches des peuples de l’Afrique de l'ouest et du centre, œuvres des collections du Cirque du Soleil, entre autres.

samedi 27 mars 2010

Visite au MBAM par Samia

Le tableau de Vincent Van Gogh Femmes réparant les filets dans les dunes.

C’est un tableau qui date de 1882 peint à l’huile. Van Gogh a utilisé le noir et le bleu foncé.

Il représente des femmes, sur un terrain vaste, en train de réparer les filets de pêche. Il y a longtemps, les métiers liés à la mer étaient des métiers masculins. Mais avec les transformations engendrées par la révolution industrielle, les femmes étaient obligées de prêter main forte à leurs maris marins. La vie devient de plus en plus compliquée avec le temps et les rôles des individus dans la société ne sont plus répartis comme avant.

Visite au MBAM par Juan Felipe




L´image en bas est une pièce similaire á celle exposée au musée de Beaux Arts á Montréal. Mais la pièce décrite ci-dessous a de la couleur entre ses éléments et est projetée sur un rocher. Les petites taches sont de gens qui marchent entre le disque. L´image en haut est une photo de l´artiste, qui est née en 1957 en Israël. Elle a fait ses études de cinéma, télévision et philosophie á Tel-Aviv. Aujourd´hui elle habite á New York.

Entre les murs d´un agréable labyrinthe décoré par les plus amusantes œuvres d´art, on risque de se tromper avec une pièce particulière qui peut vous transporter du monde réel vers une situation parallèle difficile à comprendre, mais qui sûrement va vous abstraire de ce monde.

C´est Michal Rovner qui atterrit sur le Musée de Beaux Arts á Montréal avec son travail titré «Aitlakdut»: Une projection de vidéo sur une demi-sphère en pierre. Mais la vrai magie de cette production, est le contenu des images qui prennent place dans le cratère d´un rocher.

Un mélange entre mouvement infini et une histoire de transformation constante se répète toute la journée. Même si on s´est rendu compte que la scène recommence, on sera là pour regarder plusieurs fois ce qui se passe dans ce petit univers recréé par des milliards de petites personnes… Ce sont de petits bonhommes en rouge, qui migrent du centre du cercle vers l´extérieur. Une fois qu´ils sont arrivés au bord de la circonférence, les individus changent de couleur et deviennent bleu et se déplacent encore une fois vers le centre. L´histoire ne s´arrêtera jamais.

A mon avis, cette création exprime l´absurde mission de l´être humain. Une existence pleine de modèles qui vont se répéter de manière rythmique et parfois sans sens. Un homme qui marche en ligne sans arrêt vers rien. Une masse de petits hommes silhouettés qui ressemble au monde des bactéries. Et tout prend place dans la «sphère du conflit». Aitlakdut est une invitation existentialiste á se poser des questions sur notre raison d´être.

Visite au MBAM par Leonardo


L'homme à la guitare est une sculpture en bronze faite en 1920 par Jacques Lipchitz. C'est une oeuvre géométrique, une composition de formes simples : triangles, carrés. Il y a une face complètement plate. Peut-être que c'est le dos de l'homme. Tous les détails se trouvent sur l'autre côté.

Ce n'est pas facile de trouver l'homme et la guitare dans l'oeuvre. Il ressemble plutôt à un totem. J'ai cherché le travail sur Internet et j'ai découvert que l'artiste a exécuté plusieurs sculptures sur le même thème. Il y en a certaines qui sont des représentations plus fidèles d'un homme qui joue de la guitare. D'autres, comme celle-là au musée, sont abstraites.

C'est le décalage entre ce que j'espérais voir après avoir lu le nom du travail et ce qu'il est en réalité qui m'a frappé. Et puis je me suis souvenu d'un aphorisme : la carte n'est pas le territoire. C'est à dire que lorsqu'on décrit une chose réelle, il y a des informations qui seront perdues.

Visite au Musée des Beaux Arts par Rusiana



J'ai visité cinq salles de la collection permanente du musée:

1. Galerie des cultures anciennes (Art océanien, asiatique, islamique et précolombien)
Uniquement dans la galerie d'art precolombien, j'ai noté qu'il y a les portraits des Mochicas qui se trouvent au Levant (pays de Méditerannée orientale). Ils ont été produits pendant l'empire Roman, à Tyr, province romaine de Syrie. Il y a les représentation zoomorphes qui privilégient des animaux qui sont reliés au monde de l'eau, situés entre le monde terrestre qui représente la vie et le monde souterrain qui est relié à la mort. Ce que j'ai remarqué, c'est que la mort était autant importante que la vie. Les gens dépensaient de l'énergie et des materiaux en énorme quantité et passaient beaucoup de temps à bien préparer la mort . Les objets que j'ai vus pour la plupart sont récuperés des tombeaux.

2. La galerie de la tradition moderne de Monet à Picasso se trouve au Pavillon Jean-Nöel Desmarais. Je trouve que ce pavillon est vraiment lumineux et accueillant. Il m'a fait sentir cultivée. Le tableau que j'ai trouvé le plus beau est La grand allée à Giverny. C'est le tableau de Claude Monet qui est né en 1840 à Paris et est mort en 1926 à Giverny. Il a peint ce tableau en 1900 en huile sur toile. Je suis ravie de revoir ce tableau. J'ai passé un fort long moment devant cette toile. C'était comme si j'étais à Giverny à ce moment là.

3,4. Dans le pavillon Michal et Renata Hornstein / Pavillon Liliane et David M. Stewart, je me suis trouvée dans un hall d'accueil grandiose. En comparaison avec le pavillon Jean-Nöel Desmarais, ce pavillon est un peu plus vieux et sombre. Néanmoins, il a l'air plus élégant et sérieux. J'ai visité les salles Arts décoratifs et Archélogie méditerranéenne. Je me suis amusée avec toutes les petites choses qui sont belles et utiles. Même si j'ai trouvé que les objets d'Arts décoratifs sont amusants, je préfère l'art d'achéologie méditerranéenne. C'est parce qu'ils me projettent plus d'histoire pour que mon imagination puisse fonctionner.

5. La galerie de Napoléon est magnifique, grâce à M. Ben Weider qui a tenu à cette collection. Les objets que j'adore sont le chapeau et le fauteuil. La musée a cet exemplaire de bicorne qu'a porté l'empereur durant la campagne de Russie. La Musée de l'Armée à Paris posséde l'autre. Le fauteuil que j'ai vu est vraiment beau et élégant. J'imagine pouvoir m'y asseoir.


Voilà un résumé de ma visite au Musée des Beaux-Arts de Montréal.

Visite au Musée des Beaux-Arts par Hissel


Gabriel Max, Prague 1848- Munich 1915.
Il a été capable de modeler La Résurrection de la fille de Jaire 1878. Faites par huile sur toile, cette peinture magnifique nous montre la bonté et la divinité de Jésus ; Il semble capable même d’élever les morts de façon littérale.

Les doux visages sont faits à la perfection, et la présence de Jésus se reflète sur le visage de la fille surprise qui le regarde avec attention, submergée de paix, et en même temps plongée dans l’incertitude de ne pas bien comprendre ce qui se passe.

La présence des deux sujets est forte, et nous transporte au cœur même de la scène.

J’aime l’atmosphère de pouvoir que cette toile exprime ; la compassion de Jésus et son amour pour les enfants sont clairs, la scène nous transporte aussi au Moyen Orient, avec son architecture et les robes portées.

mercredi 3 mars 2010

Fable: la tortue et le lapin par Mercedes, Lounis, Rusiana et Ion






Le lapin peut courir rapidement
Tandis que la tortue fait tout lentement
Ils sont amis depuis qu’ils sont petits

Le lapin propose à la tortue
La plus grande compétition de torture
La tortue est très courageuse
Mais le lapin est très prétentieux

Le lapin pensait la gagner
Mais la tortue n’était pas découragée
Le lapin était vraiment désolé
Quand la tortue est arrivée à gagner

Le lapin a pleuré de regrets
Et la tortue était plus contente qu’une crevette
Les animaux étaient très heureux
De l’animal plus courageux

Le lapin a des regrets d’avoir pris une pause.
Quand à la tortue, elle est montée sur le dos d'un tigre pour gagner la compétition.

C’est la fin de l’histoire, voici la morale
Ne jamais sous-estimer l’apparence physique de quelqu’un.

Portrait de Amar par Hissel



Amar est un jeune homme qui est venu de Bagdad, qui est sportif et qui aime le football. Il mange souvent la cuisine moyen-orientale, peut-être parce que c’est délicieux et bon pour la santé, mais aussi à cause de son héritage Irakien. Il a habité dans son Pays presque toute sa jeune vie. Amar a aussi visité quelques pays comme la Syrie, le Liban, la France, et le Canada, où il a décidé d’habiter pendant quelques mois. Avant d’arriver au Canada il était bibliothécaire. Il vient d’une famille très peu nombreuse, il est le seul fils, est toujours célibataire et ne pense pas se marier pour le moment. Amar parle trois langues : Le français, l’anglais et l’arabe. Son passe-temps préféré est de jouer aux échecs. Son rêve dans la vie est de vivre heureux.

mardi 2 mars 2010

Portrait de Ion par Juan Felipe


Juan Felipe

Á cette occasion, je vais décrire ION, un jeune homme Moldave qui est devenu résident permanent au Canada depuis deux ans. Avec ses 29 ans de vie, Ion a déjà réussit deux de ses rêves : Vivre au Québec et avoir une fillette. Avant de rentrer au Canada, Ion avait une vie tranquille avec sa femme Mariana. Ils ont décidé de partir à l'aventure ensemble pour découvrir un peu le paradis du nouveau monde. ¨Mais comme tous les immigrants – dit Ion- l´information donné dans mon pays d´origine par rapport au Québec a été plus agréable que la vérité.¨ Ce beaux couple a quitté la Moldavie avec l´espoir de recommencer en pensant á une future famille. Aujourd´hui, ils sont installés dans la ville de Montréal et ils ont commencé planter des racines avec le naissance de la petite Maria. La passion pousse les amoureux. Jusqu´à maintenant, le plan de rester au Canada n´a pas changé. La belle famille s´adapte et se débrouille très bien avec tout ce qui constitue un défi. Mais il y a qu’une seule chose qui se refuse à changer á l´intérieur de sa maison : "Le roumain est et sera toujours la langue qui va nous identifier." Et ce, même s´ils parlent déjà le français. Alors, il ne me reste qu'à souhaiter à ION une bonne chance et une bonne intégration.

Fable de Pia, Violeta, Timur et Leonardo


L'ours et les abeilles

Les abeilles travaillent pour faire le miel
l'ours veut simplement le manger.
Ce qu'elles font en traversant le ciel
il souhaite juste le voler.

La ruche, l'ours tente de la casser.
Les abeilles le piquent sans cesser.
Il n'ira jamais remplir son ventre.
Celles qui bossent, elles savent se défendre.

Fable de Nadya, Nadia, Paola et Antonina




Le chat et le chien

La chatte, qui n'a jamais été punie,
A décidé d'aller chercher la souris.
Dans son chemin elle a rencontré un chien,
Qui lui a proposé de faire du bien.

- Tiens, je vais te montrer un coin
Rempli de souris, sous le foin.

Cette malicieuse, en attrape une;
Elle prend la fuite
Et provoque la poursuite.
À partir de ce moment
Il n'existe un seul instant
Où les chiens tolèrent les chats.